sans titre

À la fois dense et diaphane, la peinture de Philippe Caurant semble contenir la mémoire d’une histoire de la peinture, d’Odilon Redon à Barnett Newman. Mélange de procédés photographiques et de techniques picturales inventées, son travail dégage une atmosphère pénétrante, tout autant attirante que dérangeante. Il porte sur la lumière plutôt que sur la couleur, donne à percevoir la matière dans sa présence et sa densité, sans autre sujet que le tableau lui-même.
Les presses du réel – 2010

Mélange de procédés photographiques et de techniques picturales inventées, chimie et alchimie, expérimentation et construction formelle, connaissance des formes et impulsions violentes d’expressivité, dessin et génération de formes, la peinture de Caurant succède à la modernité de façon imprévisible et inattendue…
Denys Zacharopoulos