Luc PEIRE
Sans titre
L’artiste plasticien Luc Peire est parti de l’expressionnisme (dans le sillage de Constant Permeke) pour évoluer vers une réduction et une stylisation personnelle de la figure humaine (dans les années 50), puis une représentation de l’être humain en tant qu’être spirituel symbolisé par le mouvement vertical et situé dans un espace équilibré. Peire été reconnu internationalement comme le maître du verticalisme abstrait.
À partir du milieu des années 60 : verticalisme abstrait à compter de son séjour à New York (1965/1966) et jusqu’à sa dernière œuvre (1992), Luc Peire s’en tient résolument, au verticaliste abstrait qu’il est, à de minces verticales, à des bandes colorées étroites ou larges qui se rythment et se concentrent au départ sereinement au centre (Venici, 1968, CR 1012), (Tristan, 1968, CR 1018), (Bruges, 1968, CR 1019). Par la suite, elles se situeront sur les côtés d’un champ essentiellement monochrome (Tasman, 1968, CR 1368), (Pagilu, 1991, CR 1390), (Triangle, 1992, CR 1398). Sous l’effet de son contact intense avec la simplicité apaisée, la sobriété pure et la suprématie de l’espace et de la lumière à l’intérieur des abbayes et églises romanes, Luc Peire peint des gris monochromes en tant que toiles spirituelles (Sénanque, 1979, CR 1234), (Tournus, 1979, CR 1236), (Saintes, 1982, CR 1343).
Gymnopédie (1981, CR 1306) fait partie de ses toiles structurées « musicalement ».
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